Pour pratiquer l’attelage, les chevaux doivent être habiles, obéissants, forts et endurants.
Le sport d’attelage, sous toutes ses formes, comporte son lot d’accidents, blessures et problématiques pour les chevaux. Outre les blessures d’usure et de brûlures dues à l’équipement mal ajusté, nous trouvons des retournements de véhicules, des bris de harnais ou de voiture, des collisions avec obstacles, des empêtrements avec l’attelage etc.
Les zones musculaires à risques se situent habituellement à la ceinture scapulaire, abducteurs et adducteurs, lombaires, épaules, poitrail, encolure, nuque, sternum et semi-tendineux. Le corps des chevaux subit des compressions par l’attelage, pouvant mener à des atrophies musculaires, notamment au niveaux du poitrail et des épaules. Cette nomenclature n’est malheureusement pas exhaustive.
Parmi les pathologies les plus fréquentes, nous observons l’arthrite et l’arthrose. La gonite et les vessigons sont aussi des problématiques souvent rencontrées.
Les chevaux d’attelage sont souvent sous-entraînés et sur-utilisés quand vient le temps d’une sortie en compétition ou en randonnée hivernale. Ceci peut provoquer une rhabdomyolyse d’effort récidivant d’où l’importance de l’entraînement régulier et progressif de nos athlètes.
La massothérapie équine apporte un grand soulagement aux courbatures et favorise une meilleure circulation des nutriments essentiels à la guérison, ainsi que l’élimination des déchets biologiques émanant de l’effort physique, comme l’acide lactique. Le massage facilite la guérison des tissus et aide à la récupération après un exercice intense.
Il est impératif de pratiquer un rituel de ``cool down`` après l’effort .
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